L’Arte Povera

Dans les années 70, des artistes italiens comme Merz, Penone, Paolini, Kounellis, Boetti… se regroupent pour imposer l’idée d’une identité internationale des cultures, non réductible à celle monopoliste, minimaliste et industrielle des USA.
A un Art riche, fondé sur l’imagination scientifique et sur les structures d’une haute technicité répond désormais un Art pauvre qui valorise la chaleur des matériaux, la mise en exergue des tensions et des énergies naturelles.