Jazz et peinture

Entre images, sons, éclats de saxophone et paroles, une conférence à 2 mains (et deux souffles)

Dans les années 20, l’impact de l’art nègre en France est assez puissant ; il trouve son exutoire dans l’instrumentation hurleuse et colorée du Jazz et le besoin de vivre vite et de s’amuser à tout prix. Côté cabaret, Joséphine Baker et la «Revue nègre » font le plein, et parallèlement les peintres s’inspirent de la statuaire africaine et de modes de vie exotiques, plus libres.

Joséphine Baker, 1927 (photo de Walery).